Nos grandes peurs

Petit à petit, le vol du coronavirus devenait perceptible. Dès les premiers signe de sa présence, les avis de chacun étaient tranchés. Comme souvent, deux blocs se sont constitués avec une frange d’avis mitigés. 

De la « gripette » à « quel malheur en Chine ! », nous étions tous des spécialistes remplis de certitudes plus ou moins optimistes (plutôt plus ! …). 

 Et puis, depuis quelques jours, les mauvaises nouvelles ont créé des interférences. Surtout quand nos cousins italiens n’ont pu maîtriser la situation et que le vol du coronavirus devint agressif comme les oiseaux du film d’Hitchcock. Puis COVID19 à déployé ses ailes…

 

Le travail continue...

Cette fois, il est présent, partout, sournois, car à la différence des oiseaux, seul le microscope le perçoit.

Mais quand vous êtes atteint « je me suis réveillé en pleine nuit, je sentais que mon corps tout entier était en plein combat », comme l’indique ce sportif du Val d’Oise #1.

Et nos agences d’architecture ? Le télétravail existe mais que sommes-nous sans chantiers ? A quoi ça d’avoir la frite si t’a pas les moules ? Il ne faut pas croire que nos les compagnons de chantiers durant leur tâche ou pendant les réunions de chantiers peuvent se tenir à 1m l’un de l’autre !

Et les expertises ?

« Concernant vos réunions
d’expertise programmées en ce moment, il vous est demandé de bien vouloir suspendre vos opérations et d’annuler vos réunions:

LA COUR EST FERMEE, LES AUDIENCES CIVILES REPORTEES »#2

Et comment rencontrons-nous nos clients actuels et futurs?… 

Les oiseaux
Torrey canyon
Et ce téléphone qui ne sonne plus…

Pas de conclusion pour cette chronique, à vous de la faire, ce sera au moins la vertu de long moment qui se profile.

Prenez soin de vous et de vos proches.

NB : Et dire qu’en 1967, lors du naufrage du Torrey Canyon, du haut de mes 9 ans, personne m’écoutais quand j’annonçais le début des drames d’envergure mondiale #3